Hendécasyllabes
comme le nombre, impair, de parties que Jules a jouées en Crête.
Le choix du sizain figure la quantité " bridée " d'adversaires
contre qui il s'est, proprement, échiné; sur 8 strophes d'un rappel
échiquéen.
La forme du dièse
métaphorise l'élévation d'un demi-ton, comme un intervalle de
second.
Il y a quelques
"private jokes" avec son père, susceptibles de "troubler" : "
Vers sommaires " qui évoque le fleuve "Laid bonze et fond d'exquis"
débuté à l'aller, conjointement, dans l'avion ou le problème de
Laurent en forme de mandala (" bouts d'âme " ;o), onirique avec
pièces féeriques sur échiquier Duchampien, dont l'intitulé surréaliste
était précisément "les Blancs jouent et rien" ...réellement "
résolu " par Jules !!
En permutant les
signes Blancs et Noirs, détachables (comme un distinguo utile
pour les couleurs de cases…qui me fait penser au taiji du drapeau
coréen, Yang-Yang, noir de cases noires, Yang-Yin, noir de cases
blanches, Yin-Yin blanc de cases blanches et Yin-Yang blanc de
cases noires) sur la tête des 4 Fous du jeu.
Sinon, " moujik " et le parallèle avec la musique sont des correspondances
avec ce que son papa m'a raconté de sa jeune carrière.
Pour Jules,
bravissime au… tournoi, et bien d’autres choses encore !
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